D'aucuns clamèrent une fin certaine de Godzenbuth.

Des histoires les plus scabreuses furent claironnées,

par ceux-là même qui prétendaient l'avoir cerné.

 

On put seulement consentir certaines vérités avérées :

les abysses furent siphonnées, et s'ensuivit une grande sécheresse,

tant il but sans s'arrêter, cette vague aqueuse gargantuesque.

 

Ce nom qu'on lui prêta, il ne le renia point.

Mais par simple commodité, non pas fatalité,

il le conservera, comme si il était sien.


Ainsi s'ouvre désormais une  nouvelle ère :

AIRS POST-GODZENBUTH

AIRS POST-G.