Le silence qui demeure s'éloigna des clameurs,
Et visant sa hauteur, je sondai sa profondeur
Les parfums qui naguère envoûtaient les clairières,
Sublimaient dans ses cimes les sentiments ultimes
La lumière se fit diffuse et bientôt se profila ma muse,
Dans la brume voilée du crépuscule ambré
Ce voyage en somme, était comme un pèlerinage,
Tout dévoué à lui rendre en secret cet hommage …