Les derniers arpents furent franchis sans encombre

Sous les reflets des astres badinant avec les ombres

 

Godzenbuth avait gravi le toit de son beau monde

Et touchait le ciel du bout de ses pensées fécondes

 

Plus bas, en clair obscur, se profilaient maints sentiers d'azur

Jaillissant de la pénombre en des entrelacs d'enluminure

 

Tous achevaient si bien leur course à ses pieds,

Qu'il rompit  les amarres de sa raison dépassée

 

C'est ainsi qu'il lui fut donné, en vérité, le pouvoir d'errer …